Il faut croire que, parfois, quand on a la guigne, on l'a totalement.
Toujours est-il que c'est mon cas actuellement.
Je ne me laisse pas abattre, même si la tentation est grande.
En début de semaine, c'est mon unité centrale qui m'a lachée, avec bon nombre de travaux qui étaient à l'intérieur...
J'ai bataillé comme un fou pour remettre tout à zéro, puisqu'il le faut, rechercher la panne, ne pas m'en faire.
Gardons la pêche.
Ne pas tout envoyer valser...
Je passe les détails de déceptions qui se sont parallèlement ajoutées à cette mésaventure, des déceptions personnelles et relationnelles, qui, au final, ne sont pas bien dignes d'intéret.
Ce matin, je reçois un mail de photobucket m'avertissant de l'arrêt de mon compte free chez eux (trop de visionnages de mes images), arrêt des services jusqu'au 20 du mois (c'est à dire dans 15 jours). Nouvel enervement. Mon hébergement chez eux s'arrete donc là, et tous mes supports de communication (entre autre mon myspace, ce blog) se retrouvent vidés de leur contenu. Dommage quand on sait que ce sont mes principaux outils de promotion...
Le web, l'informatique, sont des choses formidables.
En revanche, ce sont des choses qui au final  n'ont pas de réalité palpable. Ce sont un peu comme des rêves, qui s'évanouissent une fois le rêveil amorçé.
J'ai un travail de titan à faire maintenant pour refaire héberger mes images ailleurs, pour ne pas perdre le fil d'avec ceux qui me suivent.
Je ne dois pas baisser les bras.

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